A l’occasion du dossier consacré à la façon dont le Big data tend à façonner nos vies et est en train de changer nos sociétés, j’ai exprimé dans une interview donnée au journal Le Temps mon inquiétude sur le fait que la question des dangers liés à l’accumulation et à l’utilisation des méga-données soit bien plus souvent réduite au point de vue, bien que légitime, de la protection de l’individu, et pas assez souvent sous un angle politique plus large.