Donnant suite à la double interview que j’ai donnée avec M. Thierry Lebeaux, le secrétaire général de la European Security Transport Association (ESTA), le magazine économique Bilan publie un article critique face à la volonté des banques privées faîtières des systèmes de paiement sans cash de diaboliser le cash en tirant profit de la crise sanitaire du coronavirus pour servir leur propres intérêts financiers et politiques, à moyen et long terme. Nous y défendons l’idée que l’anonymat intrinsèquement lié à sa nature permet au cash de préserver des libertés individuelles et d’entreprendre qui serait anéanties si nous rentrions dans le cauchemar de surveillance vers laquelle une cashless society nous amènerait inévitablement.